Perché sur un arc-en-ciel

C'est un mec qui rentre dans un bar et il crie: SALUT C'EST MOI!! Mais en faite c'était pas lui..

ORrrfff tu saaaaiiis...

IMPRESSIONANT!!!

A ouai quand même...

A merde, ya un probleme...

Ya un moment, faut être réaliste,

ya un moment où faut voir la véritée en face...

C'est l'histoire d'Arthur Dent, anglais moyen, qui par un beau matin ce retrouve confronté à la situation suivante: Des buldozer jaune sont devant sa maison, pret à la détruire afin de construir une déviation. Mais malheureusment, des vaisseaux Vogon arrive sur terre en lançant à peu près ce message : "Nous sommes navrés, mais votre planete va être détruite car il se prépare la construction d'une nouvelle déviation pour une voie intergalactique", et la terre est détruite. Entre temps, Ford, un ami d'Arthur, qui n'est enfaite pas humain, mais un natif de Nételgeuse, lui sauve la vie en l'emmenant avec lui à bord d'un des vaisseau en faisant du stop. Après diverse petites aventure, ils se rerouve à bord d'un vaisseau apelé le "Coeur d'or" avec à son bord Zaphod, le president de la galaxy, obsédé par lui et la gloire, Trillian, une humaine qu'Arthur avait rencontré dans une soirée quelques mois auparavant, et Marvin, un robot doté d'une intelligence superieur et d'émotions et qui est dépressif.

CHANSON POUR CHANTER À TUE-TÊTE ET À CLOCHE-PIED Un immense brin d'herbe Une toute petite forêt Un ciel tout à fait vert Et des nuages en osier Une église dans une malle La malle dans un grenier Le grenier dans une cave Sur la tour d'un château Le château à cheval A cheval sur un jet d'eau Le jet d'eau dans un sac A côté d'une rose La rose d'un fraisier Planté dans une armoire Ouverte sur un champ de blé Un champ de blé couché Dans les plis d'un miroir Sous les ailes d'un tonneau Le tonneau dans un verre Dans un verre à Bordeaux Bordeaux sur une falaise Où rêve un vieux corbeau Dans le tiroir d'une chaise D'une chaise en papier En beau papier de pierre Soigneusement taillé Par un tailleur de verre Dans un petit gravier Tout au fond d'une mare Sous les plumes d'un mouton Nageant dans un lavoir A la lueur d'un lampion Éclairant une mine Une mine de crayons Derrière une colline Gardée par un dindon Un gros dindon assis Sur la tête d'un jambon Un jambon de faïence Et puis de porcelaine Qui fait le tour de France A pied sur une baleine Au milieu de la lune Dans un quartier perdu Perdu dans une carafe Une carafe d'eau rougie D'eau rougie à la flamme A la flamme d'une bougie Sous la queue d'une horloge Tendue de velours rouge Dans la cour d'une école Au milieu d'un désert Où de grandes girafes Et des enfants trouvés Chantent chantent sans cesse A tue-tête à cloche-pied Histoire de s'amuser Les mots sans queue ni tête Qui dansent dans leur tête Sans jamais s'arrêter Et on recommence Un immense brin d'herbe Une toute petite forêt... ................................ etc., etc., etc.

DANS MA MAISON

Dans ma maison vous viendrez
D'ailleurs ce n'est pas ma maison
Je ne sais pas à qui elle est
Je suis entré comme ça un jour
Il n'y avait personne
Seulement des piments rouges accrochés au mur blanc
Je suis resté longtemps dans cette maison
Personne n'est venu
Mais tous les jours et tous les jours
Je vous ai attendu

Je ne faisais rien
C'est-à-dire rien de sérieux
Quelque fois le matin
Je poussais des cris d'animaux
Je gueulais comme un âne
De toute mes forces
Et cela me faisait plaisir
Et puis je jouais avec mes pieds
C'est très intelligent les pieds
Ils vous emmènent très loin
Quand vous voulez aller très loin
Et puis quand vous ne voulez pas sortir
Ils restent là ils vous tiennent compagnie
Et quand il y a de la musique ils dansent
On ne peut pas danser sans eux
Il faut être bête comme l'homme l'est souvent
Pour dire des choses aussi bêtes
Que bête comme ses pied gai comme un pinson
Le pinson n'est pas gai
Il est seulement gai quand il est gai
Et triste quand il est triste ou ni gai ni triste
Est-ce qu'on sait ce que c'est un pinson
D'ailleurs il ne s'appelle pas réellement comme ça
C'est l'homme qui a appelé cet oiseau comme ça
Pinson pinson pinson pinson

Comme c'est curieux les noms
Martin Hugo de son prénom
Bonaparte Napoléon de son prénom
Pourquoi comme ça et pas comme ça
Un troupeau de Bonapartes passe dans le désert
L'empereur s'appelle Dromadaire
Il a un cheval caisse et des tiroirs de course
Au loin galope un homme qui n'a que trois prénoms
Il s'appelle Tim-Tam-Tom et n'a pas de grand nom
Un peu plus loin encore il y a n'importe quoi
Et puis qu'est-ce que ça peut faire tout ça

Dans ma maison tu viendras
Je pense à autre chose mais je ne pense qu'à ça
Et quand tu seras entrée dans ma maison
Tu enlèveras tous tes vêtements
Et tu resteras immobile nue debout avec ta bouche rouge
Comme les piments rouges pendus sur le mur blanc
Et puis tu te coucheras et je me coucherais près de toi
Voilà
Dans ma maison qui n'est pas ma maison tu viendras.

A psychiatrist was conducting a group therapy session with four
> > > young mothers and their small children. He observed, "You all have
> > > obsessions."
> > >
> > > To the first mother, he said, "You are obsessed with eating. You've
even
> > > named your daughter Candy."
> > >
> > > He turned to the second mom. "Your obsession is money. Again, it
> > > manifests itself in your child's name, Penny."
> > >
> > > He turned to the third mom, " Your obsession is alcohol. It manifests
> > > itself in your child's name, Brandy."
> > >
> > > At this point, the fourth mother got up, took her little boy by the
hand
> > > and whispered, "Come on, Dick, we're going home."

J'avoue que j'ai eu du mal mal à m'en remettre après quelques minutes de générique, j'était tous simplement inconciente de mon esprit face à ce remarquable film. L'histoire est celle de celui qui a écrit la piece  de théatre "Peter Pan", James Matthew Barrie, interpreté par Jonnhy Depp. L'univer dans lequel se déroule le film est en grande partie celui de l'esprit de J.M. Barrie, ce qui nous entraine dans un conte de fée theatral absolument magnifique et completement intemporel. Chapeau.

SANS MUSIQUE, LA VIE SERAIT UNE ERREUR. F. Nietzsche

Aube

J'ai embrassé l'aube d'été.

Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois. J'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes ; et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit.

La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom.

Je ris au wasserfall blond qui s'échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse.

Alors je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. À la grand'ville, elle fuyait parmi les clochers et les dômes ; et, courant, comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais.

En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois.

Au réveil, il était midi.

Les aveugles Contemple-les, mon âme ; ils sont vraiment affreux ! Pareils aux mannequins, vaguement ridicules ; Terribles, singuliers comme les somnambules, Dardant on ne sait où leurs globes ténébreux. Leurs yeux, d'où la divine étincelle est partie, Comme s'ils regardaient au loin, restent levés Au ciel ; on ne les voit jamais vers les pavés Pencher rêveusement leur tête appesantie. Ils traversent ainsi le noir illimité, Ce frère du silence éternel. Ô cité ! Pendant qu'autour de nous tu chantes, ris et beugles, Eprise du plaisir jusqu'à l'atrocité, Vois, je me traîne aussi ! mais, plus qu'eux hébété, Je dis : Que cherchent-ils au Ciel, tous ces aveugles ?